Le Projet de Kévin – Kévin’s Project
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J’ai écris les textes ci-bas en 2010. À l’origine j’avais installé une diaporama montrant beaucoup de photos d’étapes du projet de Kévin. Les images se succédaient automatiquement sans que nous ayons a cliquer sur rien. C’était un logiciel gratuit sur Internet que nous avions utilisé et il a fonctionné pendant quelques années, puis un beau jour, le fabriquant du logiciel nous a contacté pour nous dire que dorénavant nous devrions payer pour l’utiliser. Comme je n’ai pas donné suite à son avis, tout a cessé de fonctionner. Un crash de disque dur et de mon disque de sécurité à emporté toutes les photos. Je pense pouvoir les récupérer dans la plateforme WordPress ou je pense en avoir des copies dans une autre ancienne sauvegarde que j’avais ailleurs, probablement sur un autre disque dur. Il va falloir que je m’y mette quand ce sera le temps opportun. C’était un superbe projet. Ce qui est écrit plus bas à été écrit à l’époque.
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L’automne dernier, Kévin, le fils de Mimi est venu nous visiter pendant quelques jours. Kévin, depuis son enfance, a monté plusieurs kits d’autos et camions. Il m’avait dit des mois auparavant qu’il aimerait monter un ancien Stock Car. À ce jour il n’avait monté que des véhicules genre Street Machines ou Mild Customs. Des kits plus ou moins “out of the box”. Il ne s’était jamais aventuré dans le type de construction de modèle réduit qui requiert beaucoup de modifications, de pièces provenant de plusieurs autres kits, de matériaux divers et aussi, de plus d’outillage.
En fait, Kévin n’avait pas planifié de faire du modélisme pendant son séjour ici. Il n’avait rien planifié, juste se reposer et faire ce que ça lui tenterait sur le moment. C’est alors que je me suis mis à ouvrir mes boîtes à documents remplies de modèles d’autos et que je lui ai proposé de commencer ce projet de Stock Car dont il m’avait parlé un jour.
Je lui ai dit soudain “Tiens.. un Chevrolet Impala SS 1964! (l’un de mes modèles préférés), ça ferait un beau Stock Car, qu’en penses-tu? Il a trouvé que c’était un beau sujet de projet et presqu’aussitôt nous avons ouvert la boîte pour commencer à choisir les pièces que nous utiliserions pour le projet. Je lui ai expliqué certains détails sur différentes classes de Stock Cars à l’époque dans la NASCAR, puisque c’était la plus importante organisation régissant des courses de Stock Cars (et elle l’est toujours de nos jours).
Suivant mes conseils, Kévin a commencé à découper les différentes pièces de la voiture, à sabler les moulures de carrosserie pour les faire disparaître, ainsi que le lettrage en relief des noms de la marque et du modèle de voiture. Il était très important d’enlever tout ce qui n’était pas nécessaire sur les voitures de course, pour enlever du poids car l’ajout de tous ces tuyaux de protection soudés les uns aux autres, de l’avant à l’arrière alourdissait considérablement la voiture.
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Pour construire une voiture de course de type Stock Car il faut savoir quoi couper, où découper et comment le faire. Ce n’est pas un travail qu’on fait n’importe comment.
Kévin avait commencé à découper le fond du coffre arrière du châssis de la Chevrolet 1964 mais ce modèle produit par AMT a un fond (châssis moulé au dessous de l’auto) et cette pièce n’a pas de beaux détails du côté suspension et direction et elle a un affreux différentiel et des échappements tout au long, le tout moulé d’un seul bloc avec le châssis et le fond de la voiture qui sont tout d’une seule pièce. Vraiment laid comme pièce à comparer à ce qui se fait de nos jours. Il est vrai que c’est un vieux kit dont la première édition remonte à 1964 ou 1966 et qu’AMT n’a jamais amélioré le dessous de la voiture depuis cette époque, malgré les nombreuses rééditions du modèle au travers des années.
Cependant la Chevrolet Impala 1958 produite aussi par AMT a toujours eu un fond bien mieux fait, avec des tables de suspension, pièces de direction et même des roues avant directionnelles, un différentiel moulé à part, ainsi que la suspension arrière et le système d’échappement est également moulé séparément. Important car les Stock Cars ont un échappement complètement différent des voitures de rues. Les 2 voitures dans la réalité ont le même châssis (en forme de X). Elles ont aussi le même fond mis à part le fond du coffre arrière mais sur un Stock Car de cette catégorie on le découpe et on l’enlève. Je suis allé dans mes boîtes chercher un kit de Chevrolet 1958 et j’ai sorti les pièces dont nous avions besoin.
Le fond du plancher du kit de Chevrolet 1958 devait être découpé d’une façon très précise car il y a un espace vide à combler sur le devant du fond de la voiture. Il est fait en forme de “V”, juste entre les 2 longerons du châssis, près du mur de feu qui sépare l’habitacle du compartiment moteur. La plupart des compagnies de modèles réduits utilisent deux fonds superposés, ce qui est complètement différent sur une vraie voiture de rue (un seul fond). Il faut donc découper la pièce du dessus (faux fond) et l’adapter sur celle du dessous car on n’utiliera pas l’intérieur original de la voiture, qui est fait comme une gamelle avec son faux-plancher, les panneaux latéraux intérieurs et la partie du banc moulé en arrière, la plaque du dessus qui va jusqu’à la lunette arrière et à l’avant le mur de feu, tout ça étant moulé ensemble forme une gamelle ou un fond de boîtier avec ses 4 côtés. Il faut donc découper tout ça soigneusement et garder seulement le morceau dont on a besoin et l’adapter dans l’espace qui manque, cela demande de la précision. Il faut d’abord fixer le deux pièces solidement avec du ruban à masquer, tracer les lignes de contour par le trou en dessous, enlever les rubans gommés, séparer les pièces et découper tout ce qu’il y a de trop. Ensuite il y aura un travail d’adapatation pour les deux pièces de plancher (limage, fins découpages jusqu’à ce que tout arrive bien ensemble). Ensuite il faudra coller les 2 pièces et remplir le joint par dessus et par dessous au mastic de finition.
Kévin est reparti après quelques jours avec son projet en construction. J’anticipe une autre visite de sa part où nous pourrons faire avancer d’avantage son projet. Un de ces jours faudrait que je prenne le temps de placer certains de mes projets sur ce site. J’en ai des tas et des tas, des petits et des gros.
Autres précisions
Les Stock Cars de Classes Sportsman et Modified n’avaient pas de fond de coffre arrière. Le chàssis était soudé à l’extrémité de la voiture en arrière et tout le fond de la voiture en arrière était découpé et enlevé. Le réservoir d’essence était boulonné à des barres de métal transversales qu’on ajoutait au 2 longerons du châssis et qui y étaient soudées. Sur ces voitures de course Les ailes arrières étaient en général reliées au châssis par des tiges métalliques soudées au châssis, ce qui empêchait un ballottement de la tôle des ailes au vent et les fixaient solidement. Suite à un impact en compétition et à une aile arrière enfoncée, on n’avait qu’à redresser la tige pliée ou la couper et en souder une nouvelle. Pour un carrossier, redresser un fond de coffre arrière n’est pas une mince affaire, c’est beaucoup de travail. En découpant et en retirant de fond du coffre arrière, ça facilitait de beaucoup le travail de redressement et de débosselage de la partie arrière de la voiture.
Enlever le fond de la voiture à l’arrière était aussi une économie de poids et était beaucoup plus facile pour faire le travail sur la suspension arrière, le différentiel et le réservoir d’essence. Ainsi on avait aussi accès par le dessus de la voiture en ouvrant le coffre arrière. Les voitures de type Stock Car de ces classes-là n’avaient pas de fausses-ailes, ni à l’avant, ni à l’arrière. Encore une autre économie de poids et plus d’espace pour travailler, plus d’accès pour réparer et à l’avant et ça aidait aussi à plus d’aération pour le moteur, les freins, l’alternateur roulements de roues ou toutes pièces mécanique tournant à très haute révolution et développant ainsi beaucoup de chaleur. Le mur de radiateur était remplacé par un assemblage tubulaire qui laissait l’air pénétrer tout autour et la mécanique en avait grandement besoin.
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Dans le même ordre d’idée, les portes de ses voitures de course sont débarrassées de leur panneaux intérieurs et de leur contours et il ne reste en définitive que le panneau de tôle extérieur de la porte qui est soudé en place au reste de la carrosserie. C’est une autre économie de poids et cela laisse plus d’espace de manoeuvre au pilote car la cage de protection latérale est installée à l’intérieur de ce qui aurait été l’épaisseur d’une porte normale. La porte ayant été débarrassée, ses vitres et de ses mécanismes intérieurs et comme il ne reste que la tôle à l’extérieur on a beau jeu d’installer les tuyaux de protection dans ce nouvel espace, un peu plus loin du conducteur. Donc, comme la transformation d’une vraie voiture de rue en voiture Stock Car, le modèle réduit doit aussi subir les mêmes modifications pour devenir une reproduction la plus fidèle et la plus proche possible de la voiture réelle.
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Au niveau des suspensions il y aura là aussi des modifications à faire pour se conformer au type de voiture de course qui possède des suspensions ajustables aux 4 roues. Le différentiel original sera aussi à changer et il y aura également quelques changements à apporter au Moteur. L’intérieur original de la voiture doit être entièrement enlevé mais on peut conserver le tableau de bord d’origine avec modifications ou en fabriquer un nouveau, par exemple, en aluminium et y installer des manomètres. La colonne du volant doit être remplacée par une très petite tige ronde métallique (un aiguille fait très bien l’affaire pour l’échelle 1/25), le volant doit être modifié ou changé pour un volant de compétition. Il faudra construire une cage de renfort sous le capot, qui passe au travers du mur de feu et se soude sur la cage de protection à l’intérieur. Le coffre arrière de la voiture recevra aussi une cage tubulaire qui relieras l’extrémité arrière de la voiture au haut de la cage dans l’habitable, en diagonale de haut en bas de l’avant à l’arrière. Les ouvertures pour les roues doivent être substantiellement agrandies pour faire place à des pneus beaucoup plus hauts et larges et il y aura ici et là toutes sortes de détails à ajouter à la voiture de course.
À l’époque où ces anciens modèles de voitures de course évoluaient sur les pistes il y avait des classes pour les débutants et aussi les moins nantis, tout comme de nos jours. Il y avait des voitures de course pas tellement modifiées, plus proche des voitures de rues. Il y avait aussi les 3 classes les plus hautes de la NASCAR : LES Sportsman, les Modifiés et Grand National. Ces 3 classes étaient pour les pilotes plus professionnels, pour les plus nantis et ceux ayant plus d’expérience. Ces 3 classes exigeant des fonds beaucoup plus importants pour monter des voitures de course plus performantes, ayant des moteurs plus puissants, de l’équipement de course ici et là, des suspensions ajustables aux 4 roues, des roues et des pneus plus larges et ainsi de suite.
J’ai terminé mon survol d’explications par les deux plus importantes classes pour les pistes de courses qu’on appelle des “short track”, ces petites pistes ovales de plus ou moins un quart de mille en distance lorsqu’on en fait un tour de piste. Ces petites pistes qu’on retrouvaient dans tant de municipalités ici au Québec et partout en Amérique du Nord surtout, mais aussi ailleurs dans le monde.
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Ces deux plus grandes classes étaient à l’époque les Late Model Sportsman et les Modified. Chaque année il y avait des changements dans les règlements, et ce, probablement pour toutes classes, donc, choisir de monter une voiture d’une certaine époque particulière, de telle à telle année, a des côtés aléatoires si on ne décide pas disons de construire une voiture par exemple de la catégorie Late Model Sportsman qui évoluait sur les pistes disons en 1970, car l’année d’avant et celle d’après il y avait un certain nombre de règles qui étaient différentes et puis, extrêmement important, si on veut aller dans les détails, il faut avoir une copie des règlements pour cette classe particulière et pour cette année-là précisément pour savoir ce qui était permis et ce qui ne l’était pas cette année-là. Si on a pas une copie des règlements, alors on est contraint de construire une voiture qui ne sera pas assurément parfaitement conforme selon tout le contexte historique. Si le projet est de construire une voiture générique, une voiture qui n’a jamais existé en réalité, ayant un numéro, des graphiques et un commanditaire fictifs cela n’enlève pas tout le contexte dans laquelle elle aurait évolué, qui lui, a existé pour vrai. Il faut tenir compte du genre de voiture qu’on voyait sur ces pistes à l’époque, du genre d’équipement qu’on utilisait sur ces voitures de course ces années-là, donc, pour quelqu’un qui n’aurait pas toutes ces notions il faudrait beaucoup de recherches historiques et si on ne possède pas une pile de documents d’époques (revues, photos, articles, livres historiques sur le sujet, biographies de pilotes, programmes de course et ainsi de suite) on doit alors demander les informations à une personne ressource ou chercher sur Internet pour nous documenter et même pour acheter de la documentation,quelle chance d’avoir Internet de nos jours!
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Je suis souvent déçu de voir certains modèles qui ont été montés par des gens qui n’ont pas le souci des détails du contexte historique. Leurs constructions ressemblent parfois à un amalgame de types de voitures de course qui n’ont jamais évolués ensemble et ça ne représente nullement ce qui se voyait ces années-là sur les pistes ovales. Je peux comprendre qu’ils n’avaient pas les pièces nécessaires et en ont utilisé d’autres, totalement inadéquates. Certains utilisent des fonds entiers de voitures NASCAR qui sont des châssis et des fonds de voitures fabriqués en atelier, par des firmes spécialisées. Ces châssis et fonds de voitures de courses sont 10, 20 ou 30 ans plus jeunes que la carrosserie de la voiture qu’ils mettent dessus. Ces fonds de voitures NASCAR et leurs longs bras de suspensions arrières en diagonale n’existaient pas à la fin des années 60 et au début des années 70 et plusieurs modèles de carrosseries des années ’50 et ’60 ont été abandonnées par la NASCAR du début des années 70 au milieu de la même décennie, donc déclarées illégales longtemps avant et n’étaient plus acceptées sur les pistes de courses sanctionnées par cette organisation. Tout cela pour expliquer qu’on ne peut pas mettre n’importe quoi ensemble et prétendre que cela représente une voiture qui a évolué à une certaine époque donnée, ni même à une autre, d’ailleurs… Dans les années 60 et le début des années 70 les Stock Cars de pistes Short track utilisaient des châssis d’origine et modifiaient les suspensions. Il faut donc essayer de s’en tenir à cela si on veut respecter le contexte historique.
Pour monter une voiture réaliste il faut aussi tenir compte du type de graphiques, des styles de lettrages en vogue à l’époque, de la décalcomanie existante à ce moment de l’histoire. On ne peut pas installer des décalques sur une voiture provenant d’une compagnie qui est apparue sur le marché 10, 20 ou 30 ans plus tard. On ne peut pas mettre un logo plus récent d’une compagnie qui existe depuis longtemps mais qui 30 ans auparavant utilisait un logo plus ancien. Il faut donc utiliser le logo que cette compagnie utilisait à cette époque-là ou tout simplement ne pas installer le logo trop récent sur le modèle. Vaut mieux un résultat plus sobre et moins élaboré que des choses inexactes, c’est mon point de vue.
Tout cela pour expliquer qu’il faut être très bien documenté si on veut créer quelque chose de réaliste. Donc cela demande beaucoup de recherches si on n’est pas un expert dans le domaine. C’est très triste de voir que des gens ont fait du beau travail mais n’ont pas respecté le contexte historique de l’époque. C’est un mélange de vrai et de faux.
Il n’est pas nécessairement facile de construire une voiture de course si on ne connaît pas précisément l’organisation, la classe de la voiture de course qu’on veut construire et qu’on a pas choisi une année précise où ce bolide aurait évolué. Je vois parfois des créations qui sont un amalgame de différentes voitures de course : Stock Car, Rallye, Accélération, Grand Tourisme, Trans-Am ou autres. Un peu de ceci et de cela mélangé ensemble. Enfin … Il y a toutes sortes de gens. Des puristes et d’autres qui font des mélanges de n’importe quoi sans s’en soucier. Ça me fâche en-dedans, mais qu’est-ce qu’on y peut. Ils ont le droit de faire ce qu’ils veulent comme ils le veulent, c’est juste mon problème à moi.
À travers l’histoire du Stock Car il y a eu quantité de différentes organisations sanctionnant des courses. Outre la plus prestigieuse, la NASCAR (acronyme pour National Association for Stock Car Auto Racing), il y a eu la USAC (United States Auto Club), l’USCRC (United Stock Car Racing Club), l’ARCA (Automobile Racing Club of America), l’ASA (American Speed Association), la CRA (Champion Racing Association), la IROC (International Race Of Champions) pour n’en nommer que quelques unes aux États-Unis. Au Canada la CASCAR (Canadian Association for Stock Car Auto Racing), Ici, au Québec, dans le début des années ’70 il y a eu l’ACAQ (Association des Coureurs Automobiles du Québec). En 1971 la NASCAR avait poursuivi NASCAR-QUÉBEC pour avoir utilisé les 5 lettres de son nom et avoir fondé une association n’ayant aucune affiliation avec la NASCAR. De par le monde il y a et il y a eu probablement des centaines d’organisations régissant des courses de Stock Cars. Parfois même, une piste locale avait sa propre association indépendante et ses propres règlements comme ce fut le cas par exemple pour la piste de Mansonville Speedway aux États-Unis, et sûrement un tas d’autres. Il y a probablement eu des centaines de petites associations locales indépendantes un peu partout dans le monde et réussir à toutes les répertorier serait certainement impossible. Les courses de Stock Cars ne se retrouvent pas seulement aux États-Unis et au Canada, on en organise en Australie, en Nouvelle Zélande, au Brésil, en Argentine, au Japon et même en Afrique du Sud.
Dès 1955, les Européens avaient organisé un championnat de courses de Stock Cars opposant les Allemands, les Français, les Italiens et les Britanniques. Les “Britts” furent les vainqueurs du grand championnat et ils eurent ensuite l’idée de lancer un défi aux Américains d’envoyer un certain nombre de leurs meilleurs pilotes (8) avec des voitures de courses Américaines. Un championnat fut organisé sur différentes pistes en Angleterre et les Américains furent les vainqueurs. C’est un petit résumé de ma part du récit du pilote Américain Curtis Crider dans son auto-biographie The road to Daytona qui raconte l’histoire plus en détails dans son livre, ainsi qu’un tas d’autres annecdotes sur sa carrière de pilote de Stock Car.